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Christophe Deschamps

Obtenir des résultats grâce aux réseaux sociaux - 0 views

  • Il est donc plus que jamais temps de comprendre que : • Business (or corporate) Social Netwoks have nothing to do with General Public  Social Networks on the web.
  • • Le réseau social n’est pas né avec les logiciels du même nom qui ne sont que des catalyseurs. C’est la manière dont travaillent effectivement les collaborateurs depuis longtemps. Votre entreprise est truffée de réseaux sociaux quand bien même aucun collaborateur n’aurait d’ordinateur à sa disposition.
  • • Le réseau social n’est pas quelque chose de figé et stable que l’on “met en place”, c’est quelque chose de mouvant, de vivant, dont l’activité interne n’est pas prévisible.
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  • • Le réseau social n’est pas un enchevêtrement de personnes qui se “lient” et échangent (ou non) de l’information. C’est une manière de travailler afin d’obtenir des résultats. On parle trop de Facebook alors que le concept même de réseau social en entreprise n’a rien à voir, a des règles et des objectifs qui lui sont propres
  • En effet ça n’est pas parce que ces réseaux sont pas définition informels que l’entreprise doit les négliger, ou pire, les combattre. Il y a des méthodologies permettant de comprendre le fonctionnement des réseaux internes à l’entreprise, d’en identifier les acteurs clé, d’identifier les circuits de création de valeur afin de pouvoir en tirer le meilleur. Et essayer de les développer là où ils sont nécessaires.
  • la contribution d’un individu à la création de valeur n’est pas forcément liée à son poste mais peut résulter de son rôle central dans un réseau ou entre deux réseaux.
  • Je suis d’ailleurs surpris du nombre d’entreprises qui se lancent dans des projets de réseaux sociaux sans avoir pris la peine de comprendre leur rôle actuel dans leur organisation et essayent de développer des réseaux en partant de rien et en recopiant leur organigramme tout en négligeant totalement de procéder à une analyse de l’existant.
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    Compte-rendu de l'ouvrage Driving Results Through Social Networks de Robert Cross.
Christophe Deschamps

Entreprise 2.0, collaboration et contraintes individuelles - 7 views

  • Le groupe ne délivre en effet que la somme de la tâches effectuées par ses membres. D’où l’importance de la coordination. On peut même se dire que par une étrangle ironie du sort, le travail des travailleurs du savoir donne une part encore plus belle à la tâche individuelle de l’individu au sein du groupe : si on peut effectuer une tâche physique ensemble on ne peut penser ensemble. On pense individuellement et le travail de groupe demande de multiplier les intéractions entre tous pour rester coordonné et cohérent.
  • Ce qui se traduit à nouveau par un travail individuel même si ponctué de nombreux échanges qui donnent une impression de collectif. Mais il n’en est pas moins que chacun se retrouve avec une tâche personnelle.
  • Mais l’apport du “2.0″ peut être important dans la multiplication des signaux “informels” donnant aux autres de la visibilité sur son travail et leur permettant de s’adapter en évitant une coordination lourde, peu réactive et chronophage.
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  • C’est là qu’une logique “2.0″ commence à porter ses fruits : on s’en remet au réseau, et à d’éventuelles communautés où des discussions sur le sujet auraient lieu. Si le sujet a déjà été traité tant mieux, sinon on trouve des personnes pertinentes à qui le soumettre, soit dans une communauté soit en identifiant un individu à contacter (très souvent on trouve ces personnes car leur activité “sociale” enrichit leur profil…et une recherche suffit.
  • l’individu part de lui, passe ensuite au groupe et ensuite aux réseaux/communautés. Il passe d’un travail solitaire à un travail coordonné dans une équipe définie avant de passer à quelque chose d’informel, avec une logique destructurée, dans un périmètre humain relativement flou.
  • les collaborateurs (et quelle que soit leur génération) tiennent à garder une frontière claire entre leurs vies privées et professionnelles et surtout dans les pratiques liées à chaque. On “socialise” entre amis mais pas dans l’entreprise. Ou avec d’infinies précautions et dans un périmètre connu. Ce qui nous ramène au “moi, mon groupe, mon réseau” énoncé plus haut.
  • il faut que des communautés actives et pertinentes existent pour pouvoir mener la logique à son terme, pour permettre au collaborateur de passer en mode “réseau” lorsque le groupe montre ses limites.  Là on entre dans une logique plus “sociale”. Ces communautés seront composées de personnes qui décideront volontairement de partager expériences et réflexions sur un sujet donné, de faire un pas au delà du travail qui leur est demandé, de donner une sorte de supplément d’âme à leur investissement professionnel.
  • on est dans le “pur 2.0″ : des conversations, des communautés qui se forment et vivent librement, de la collaboration “douce”, informelle, non structurée, de l’imprévisible et une importante composante humaine car ici on parle de l’envie d’avancer avec les autres, de partager, d’apprendre, de se lier à des personnes que l’on aurait peut être jamais rencontré autrement. En général c’est surtout cette dimension qui vient à l’esprit lorqu’on parle d’entreprise 2.0
  • On améliore l’efficacité au sein du groupe en se donnant la possibilité d’en sortir si besoin. On est, quoi qu’il en soit, dans une problématique d’organisation : on amplifie le potentiel des pratiques existantes, on en met en place éventuellement de nouvelles mais de manière très “orientée tâche”. On construit du “social” autour d’un business process, d’un workflow dont on essaie d’augmenter la bande passante. On “étend” le périmètre de l’existant.
  • ceux qui n’ont d’autres objectifs que de faire leur travail, se limitent à intéragir dans le périmètre de leur équipe et vont occasionnellement plus loin s’il n’y a pas moyen de faire autrement.
  • ceux qui, en plus, ont envie de s’investir pour échanger, benchmarquer, apprendre, proposer…sur des sujets professionnels,
  • Cela est tout sauf anecdotique lorsqu’on conçoit un projet 2.0 au niveau macro : il faut des scénarios d’usages pour chacun et surtout ne pas s’imaginer qu’on pourra emmener tout le monde dans le communautaire et l’informel, ce que d’aucuns appelleront le chaotique.Il faut penser non pas à ce qu’on aimerait que les gens fassent dans un monde idéal voire fantasmé mais s’adapter à leur logique de collaboration.
  • On dit que l’entreprise 2.0 c’est beaucoup de choses : connecter, engager, partager… Je pense qu’on oublie trop souvent une dimension qui est pourtant l’essence même de l’entreprise: réaliser des choses. C’est pour cela que le collaborateur n’a que faire d’être 1.0 ou 2.0, il veut juste une logique claire qui lui permette de faire son travail plus efficacement.
  • L’entreprise 2.0 n’est pas la fin du groupware, n’est pas le “tout réseau”, “tout communautaire”. C’est le fait de mettre en face de chaque situation les bons outils et les bons usages en fonction de l’objectif à atteindre et de la capacité d’engagement de chacun.
  • Quoi qu’il en soit il n’y a pas un contexte de travail et de collaboration unique mais une infinité de contextes dans lesquels on peut et doit développer des logiques d’intéractions spécifiques qui permettront aux collaborateurs de passer d’un extrême à l’autre en faisant des petits pas intermédiaires en fonction de son contexte propre.
  • Le collaborateur n’est pas si opposé au changement que cela, il veut juste des petits pas plutôt qu’un grand saut et que le processus respecte sa logique propre, fasse sens par rapport à ses besoins et ne violente pas sa volonté de s’engager ou non.
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    Très intéressant billet de @bduperrin sur les besoins des travailleurs du savoir
Christophe Deschamps

Intellipedia suffers midlife crisis - 0 views

  • The problem? The growth of the collective intelligence site so far largely has been fueled by early adopters and enthusiasts, according to Rasmussen. About all those who would have joined and shared their knowledge on the social networking site have already done so. If the intelligence agencies want to get further gains from the site, they need to incorporate it into their own formal decision making process, he contended. Until that happens, the social networking aspect of Intellipedia is "just a marginal revolution," he said.
  • Established in 2005, Intellipedia, now managed by the Office of the Director of National Intelligence,  has approximately 100,000 user accounts. Open to anyone with a government e-mail account, it has social bookmarking tool, a document repository, a home page for each user, and collaboration spaces.
  • For true change to occur, other agencies must use Intellipedia as their official conduit, at least for some functions, Rasmussen said. Otherwise, it is just creating additional work for contributors.
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  • Another problem is that managers may not worry that their employees would not be comfortable contributing information to a social-networking tool. Rasmussen said he talked with one executive who said employees may not want to contribute personal items to their home page.
  • " 'Are you kidding?' " Rasmussen responded. "This is work. We force people to do stuff [they don't want to do] all the time — we make people come in sober and wear clothes. In certain cases top-down may not work, but in certain cases it does."
  • Contributors need to learn to accept "an agency-neutral non-ownership" stance to their articles, he said.
  • "If you bring too many locks into an overly cautious culture, that's all you get: locks," Rasmussen said. He also mentioned that mashups remain to be too difficult for non-programmers to create, and social networks continue to be held, presumably unfairly, by higher standards than other technologies.
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    Intelipedia, le réseau social des agences de renseignement US mis en place en 2005, connaît quelques difficultés. Intéressant retour d'expérience sur un projet 2.0 déjà ancien.
Michael Nezet

PersonAll - Plateforme d'aggrégation et de réseau social d'entreprise (Fr) - 0 views

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    PersonAll propose des solutions de portail social et collaboratif d'entreprise, complètement personnalisable par simple configuration, agrégeant toutes les informations utiles (applications métiers, modules publics, internet, etc.) en un lieu unique.
Yan Thoinet

Abondance: Le responsable de Google News planche sur une nouvelle start-up - ... - 0 views

  • un nouvel outil basé sur un réseau social
  • Mechanical Zoo
  • serait de mettre en place un réseau social permettant d'"utiliser" son cercle social d'amis afin de trouver réponse à la question que l'on se pose sur l'instant. Une sorte de "Yahoo! Questions Réponses" plus "socialisé" que l'outil en question. On pense imémdiatement à un outil comme Baagz d'Exalead lorsqu'on lit la description du projet
Christophe Deschamps

YAKABOD :: Do Stuff That Matters - 0 views

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    Créez un réseau social pour votre entreprise avec ce service.
Christophe Gauthier

Sens du client - Le blog des professionnels du marketing client: Les 10 tendances du Se... - 3 views

  • Les 10 tendances du Sens du client 2010
  • LE CLIENT SERA PLUSIEURS Le client est devenu mutliple. Présent à plusieurs endroits sous une forme différente, c’est un individu fragmenté auquel les marketers doivent désormais faire face. Multiples identités (on compte en France 2,4 adresses mails par personne et 65% ont 2 adresses ou plus), contextes variables : le client est plusieurs et il devient parfois invisible. Pour les entreprises qui gèrent des données concernant leurs clients (une catégorie en très forte augmentation), l’organisation de ces données, la déduplication et la segmentation sont devenues des exercices complexes.
  • Au moment ou le marketing de masse laisse place au marketing comportemental ou ciblé, le marketing des données devient un marketing de masse. La preuve : le one-to-one est moins à la mode que la gestion des communautés qui est une espèce de one to many. On parle désormais de social CRM comme pour habiller délicatement l’ignorance dans laquelle se trouvent beaucoup d’entreprises. Les systèmes d’information qui ont couté des millions aux entreprises se révèlent insuffisants pour appréhender la réalité du client. Comment donner du sens à ces masses de données ? Comment appréhender les nouveaux segments de clients ?
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  • les nouveaux segments sont devenus un fait acquis, alors demandez-vous : comment concevrais-je mon organisation si je savais que dans les cinq prochaines années, 5 ou 6 segments émergeront pour occuper plus de la moitié de mon chiffre d'affaire ?
  • la convergence des canaux de relation et la cohérence des sollicitations. Comment avoir une vision unique du client et comment gérer la pression de communication ? Comment comprendre un client multiple et anticiper son comportement ?
  • LE CLIENT SERA SEUL Le self-service est un progrès de notre société
  • LE CLIENT SERA ECO-SENSIBLE Passer la marque à la machine sur le programme « GreenWashing » : l'occupation de ces dernières années pour les entreprises au marketing qui lave plus vert. Sous la pression d’une actualité dramatisante et de clients anxieux, presque toutes les entreprises adoptent les valeurs « développement durable » ou « respect de l’environnement », espérant réchauffer le climat entre leurs clients et elles
  • Mais le client veut des marques ou des enseignes disponibles et réactives, il désire être autonome, échanger en temps réel n’importe quel jour et à n’importe quelle heure, dans une relation personnalisée
  • En 2009, 36% des entreprises, soit deux fois plus qu’en 2008, (selon cette étude) « ont opté pour les modes de communication économiques, comme le Web et le self-service ». Parfois mauvais calcul quand on constate que –selon la même étude- « Malgré la mise en place de ces services sur Internet, les centres de contacts constatent que le nombre d’appels entrants n’a pas été impacté
  • Dès qu’on ouvre un nouveau canal de relation avec le client type Serveur Vocal Interactif, celà aurait plutôt tendance à faire croitre le nombre de contact globalement. Au bénéfice de la marque qui maitrise l’information qui la concerne et héberge la conversation, et au bénéfice du client qui choisit son mode de communication
  • apporter un vrai bénéfice au client lorsqu’il est seul. Seul face à un site Internet, avec un SVI, une borne interactive, il se sent trop souvent abandonné
  • Bénéfices évidents du client seul : l’aspect pratique et la réduction des prix.
  • LSA nous rapporte qu’une enseigne espagnole a conçu et marketé son espace de vente en trois circuits d’achat : court (convenience store), moyen (achats quotidiens) et longs (courses de la semaine) pour répondre aux besoins du client.
  • LE CLIENT SERA ORGANISE On sait que le client est multiple, tout comme le sont les propositions commerciales qui s’adressent à lui. Lorsque celles–ci manquent de clarté ou sont défaillantes dans le bénéfice réel, le client revoit ses préférences et hiérarchise ses fournisseurs. Parfois perdu (8 français sur 10 ignorent encore ce que sont les soldes flottants ), souvent sur-sollicité (rappelons que nous sommes confrontés à 400 messages commerciaux par jour-source Francoscopie 2010), le client doit s’organiser
  • les marques ont l’occasion unique de redonner du sens à leur discours avec des valeurs et de créer du lien avec leurs clients. Seront gagnantes les marques qui apporteront des preuves concrètes, qui feront des gestes sans calcul cynique sur un sujet qui n’est pas prêt de quitter l’esprit du client
  • LE CLIENT SERA AMELIORE (Photo Avatar). Le client est un roi doté de super-pouvoirs. Entourés, enrichis, connectés, les français sont 67% à avoir accès à Internet chez eux (+6% en un an), et 82% des Français de plus de 12 ans ont un téléphone mobile. Le monde dans le creux de sa main est une réalité pour déjà 5 millions de personnes utilisant Internet mobile (doublement en un an) Source : ARCEP. Le client est assisté, aidé : il ne faut plus faire partie d'une minorité de privilégiés pour savoir qu'il faut tourner à droite dans 200 mètres avec son GPS embarqué dans sa voiture ou sur son téléphone mobile... Le client français a adopté les réseaux sociaux : près de 16 millions d’inscrits dont les trois quarts pour « rester en contact avec leurs amis ». Le réseau social virtuel qui entoure le client l’aide aussi à faire des choix dans sa consommation. Selon Harris interactive (pour Fleishman Hillard), "50% des français pensent qu’Internet les aide à prendre de meilleures décisions d’achat" et "85% des consommateurs consultent les avis des internautes avant d’acheter". Le téléphone est devenu « smart » pour 3,5 millions d’utilisateurs nouveaux en une année, et pas tous des professionnels ! Que vous partiez en voyage ou que vous vous rendiez au restaurant du coin, vous trouverez sur la route de votre choix des avis de consommateurs en qui vous avez confiance.
  • prendre sa place dans un monde digital et virtuel pour y accueillir son client. Proposer de nouvelles voies d'accès et de dialogue avec lui.
  • LE CLIENT SERA OCCUPE La moitié des adolescents regardent déjà la télé en surfant sur le net et 47% utilisent leur téléphone mobile en étant connectés (source Forrester). La multi-activité se développe
  • Le client est surbooké et ce que nous nommons une maladie pour nos enfants n’est que la caricature et le signe précurseur d’un futur proche de consommateur de média. Le client n’est pas absent ou distrait, il est très occupé. Les Français ont eu en moyenne 40,4 contacts par jour avec une activité média ou multimédia (hors ordinateur) en 2009, un chiffre toujours en augmentation. Un français sur deux se connecte chaque jour à Internet, et les médias sont de plus en plus consultés sur de nouveaux supports
  • LE CLIENT SERA FAN Les grandes marques vont sortir de la crise avec panache et le client n’attend que ça. Pourquoi ? Parce qu’il a désormais la possibilité de se manifester et de faire savoir qu’il aime une marque ou qu’il s’y intéresse sur les réseaux sociaux. 40% des inscrits à Facebook sont amis ou fans des marques et 25% « suivent » des marques sur Twitter selon Razorfish
  • LE CLIENT SERA BAVARD Si je me fie à ce compteur Twitter, au mois de mars prochain, nous passerons la barre des 10 milliards de tweets. Rien qu’en France, si on suit les 25 premiers utilisateurs de ce réseau social, on peut lire 360 000 posts de 140 caractères Pour 23% des Français de plus de 12 ans inscrits sur les réseaux sociaux , le quotidien est fait de conversations.
  • Un tweet sur 5 concernerait un échange d’expérience à propos d’une marque. C’est considérable. A la recherche de la relation authentique, de l’avis sincère, le client est prêt à contribuer et donner de son temps. Sur le très fiable site d’avis consommateurs Beauté Test par exemple, tous les jours, 400 nouveaux avis sont postés et 10 à 20 nouveaux produits sont référencés. On donne la parole au client, il en fait un usage à son profit !
  • les avis seront de plus en plus donnés en temps réel (18% des membres Facebook mettent à jour leur profil depuis un téléphone mobile)
  • favoriser l’expression du client en la rationnalisant. Et face à l’infopollution, investir dans le tri sélectif
  • LE CLIENT SERA AVENTUREUX Seuls 15 %, c’est-à dire un client sur sept se déclare «fidèle » aux marques et 21 % sont moins fidèle qu’avant, c’est ce qu’avait révélé l’étude faite en 2009 à l’occasion de la Saint Fidèle sur ce blog.
  • Laurent Habib de RSCG C&O déclarait à LSA le 29 octobre dernier : «les marques ne parviennent plus à justifier leur positionnement premium, ni a susciter la préférence et la fidélité». Sensible au prix, le client observe avec un scanner dans les yeux les propositions low cost et les propositions premium, délaissant un ventre mou sans odeur et sans saveur. Il privilégie la valeur d’usage et se montre critique envers les innovations sans bénéfice
  • proposer aux clients de vraies innovations, prendre des risques. C’est le moment de mettre en pratique le subtil précepte de Jacques Séguéla (qui a le sens de la formule) : « moins de tests, plus de testicules »
  • LE CLIENT SERA ENTENDU 20% des français ont déjà dénoncé en ligne des entreprises ayant mal agi à leurs yeux TNS Sofres LSA 11/09. Nous sommes entrés dans le nouvel âge de la relation client, l’époque où le client peut s’exprimer et être entendu par des milliers de personnes (cf mon billet à ce sujet). Le patron d’Amazon disait "Si vous rendez vos clients mécontents dans le monde réèl, ils sont susceptibles d'en parler chacun à 6 amis. Sur internet, vos clients mécontents peuvent en parler chacun à 6000 amis."
  • gérer sa réputation et repenser son organisation pour l’orienter vers un client omniprésent. Il ne s’agit plus de surveiller ou faire du buzz monitoring mais bien de pratiquer une écoute active et participer à un nouvel échange.
Christophe Deschamps

La collaboration… une fumisterie ? - 8 views

  • Le Web social montre la voie à de nouvelles manières de faciliter l’échange de savoir, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de nos organisations, mais les comportements collaboratifs, indispensables à l’éclosion de modes de travail en accord avec la nouvelle économie en réseau qui est en train de se dessiner, ne sont présents (voire même imaginables) que chez bien peu d’entre nous.
  • Des milliers de pages Facebook sont créées chaque jour au nom de la promesse presque toujours fallacieuse de construire des communautés.
  • Ce dont nous avons besoin n’est pas de forcer l’adoption de nouvelles pratiques dans des structures conservatrices, mais de faciliter leur diffusion, par l’utilisation et la modification de mécanismes existants, quoique latents, pour permettre l’émergence de nouvelles pratiques.
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  • La véritable collaboration requiert non seulement le développement d’un environnement collectif favorable, mais aussi de la confiance. Le problème est que la confiance est une qualité en voie de disparition. Les marques ne peuvent prétendre ignorer que les clients leur font chaque année de moins en moins confiance, et que cette érosion de la confiance s’exprime partout, y compris sur les médias sociaux. Dans les entreprises, le niveau de confiance est encore plus bas. Le micro-management, l’évaluation continue basée sur la performance dans des environnements de travail prédéfinis, la pression hiérarchique et économique, ont gravement endommagée la confiance parmi les employés. Dans la plupart des cas, la collaboration est une fumisterie.
  • Les travailleurs du savoir doivent continuellement pouvoir disposer de nouvelles ressources, tandis que travail et apprentissage doivent se fondre en un flux continu. Mais, alors que si peu d’entreprises sont suffisamment mûres pour accepter et adopter cette complexité et ainsi redéfinir le travail en termes de flux fluide et collaboratif, comment pouvons-nous aider et accompagner les autres ?
  • Un tel modèle facilite l’adoption de pratiques collaboratives, mais ne tient compte ni des relations réelles entre les membres d’une entreprise et du manque sous-jacent de confiance, ni d’un des défauts majeurs des processus business : les «socialiser» permet plus facilement de prendre en compte les opérations floues ou incertaines, une approche voisine de celle des Barely Repeatable Processes de Thingamy, mais ne fonctionne pas correctement lorsque l’issue elle-même est incertaine. Les processus fonctionnent lorsque le résultat en est prévisible, ce qui est de moins en moins le cas.
  • Les communautés de pratiques, qui développent avec le temps de véritables comportements collaboratifs et adaptatifs, reposent bien plus sur la passion, la patience et l’implication que sur les technologies 2.0. Elles fonctionnent généralement bien en ligne lorsqu’elles fonctionnent bien hors ligne.
  • Ces relations ne sont pas basées sur une transaction, mais reposent sur la valeur que les entreprises peuvent créer en aidant les clients à résoudre les problèmes qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne, en leur proposant de meilleurs produits et services. Le Web social facilite cette logique à dominante service, permettant de recueillir davantage d’informations à partir des interactions entre les individus (c’est ce à quoi s’emploie le CRM Social). La mise en place de ce type de relation est un pré-requis de la collaboration, dont le but ultime est la co-création de valeur.
  • Plutôt que d’aider leurs clients à faire ce qu’ils ont à faire en entretenant une interaction constante, beaucoup de fonctions support les mettent au bout d’un entonnoir orienté processus. Par exemple, la DSI formalise en vain ses relations avec ses clients internes à travers la gestion des exigences, malgré leur inaptitude avérée à résoudre des problèmes réels en temps réel.
  • Redéfinir le client interne en suivant une logique orientée service permettrait de jeter les bases organisationnelles de la collaboration. La plupart des services en bénéficierait; les Ressources Humaines, par exemple, pourrait mettre en place un vrai développement de carrière, au-delà des référentiels métiers et fonctions.
  • Que se passerait-il si les managers considéraient leurs équipes comme des clients ? Faciliter la tâche de ses subordonnés et observer la manière dont ils les gèrent…
  • Je crois que l’application en interne de ce que nous apprenons à faire vis-à-vis de nos clients externes fournit une solution concrète à la préparation du changement vers une entreprise collaborative, pour la grande majorité des entreprises pour qui la collaboration est une fumisterie. Je ne propose pas de modèle, juste un appel au passage à l’acte. Pour faciliter la diffusion de pratiques collaboratives, redéfinissons le client interne, et tenons en compte de la même manière que nous devons à présent tenir compte des clients de nos marques.
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    Texte essentiel de @tdebaillon
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    Bravo, une grande part de ces constats est faire un pas dans une conscience de soi et de son impact sur la société. Les entreprises sont les ultimes clés, aussi je vous propose de penser en terme d'entreprise civile... voir ici: http://www.facebook.com/topic.php?uid=67036426665&topic=8274 le groupe ADN2 .. don t vous pourrez constater qu'il n'y a pratiquement jamais d'intervenants ou de critiques constructives (c'est à dire basée sur ce que l'autre pose comme support ou erreur à corriger.). souvent les forums sont au plus près de ce que les gens arrivent à faire: parler dans leur coin et corriger un par un.. mais il est vrai qu'il y a toujours un aspect "virtuel" sur ce qui est déposé en commun. Or c'est à partir du moment où nous pourrons affirmer travailler en efforts personnels pour des projets communs que nous pourrons parler de réelle collaboration. La différence entre "participer" à un débat en y déposant son avis (et donc d'en recevoir sa propre satisfaction egotiste) ET tenter de construire afin d'affiner et d'optimiser une réponse, en théorie comme en concret est vicieuse: la forme prime encore parce qu'apposer sa signature est devenu le gage d'un "pseudo-engagement, proche de ce que les gouvernances actuelles nous sommes de faire: voter" : cela se rejoint parfaitement dans un lien direct.
Christophe Deschamps

L'entreprise et le web - 0 views

  • On ne consulte plus le web, on l’utilise.
  • Interfaces légères, utilisation intuitive, dimension sociale : on ne regarde plus le web sans se parler entre nous mais on s’en sert pour intéragir.
  • Soyons honnêtes, tout cela a été quelque peu survendu mais la masse critique était telle qu’il devait forcément en sortir quelque chose.
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  • Un des éléments nécessaires au succès était le contexte, une dimension largement moins facile à importer que la technologie elle-même.
  • Pour la première fois l’appropriation technologique que l’entreprise pratiquait jusque là avec succès devait se doubler d’une appropriation comportementale. Un challenge d’autant plus difficile que les personnes en charge de l’un ne sont pas celles en charge de l’autre et que les fameux “usages” inquiétaient à juste titre : il fallait de plus les professionnaliser.
  • La professionalisation des usages est possible mais encore difficile à comprendre pour l’entreprise qui a besoin de quelque chose de plus structurant pour avancer. Ce qui amène à penser que la prochaine étape sera davantagé liée aux processus opérationnels.
  • Et dans l’entreprise utilisation signifie production et gains de productivité.
  • Le “web en tant que plateforme” au sein de l’entreprise va servir à enrichir les processus existants et donner de l’autonomie au collaborateur pour atteindre ses objectifs dans une entreprise en réseau.
  • Il n’est plus question ici d’importer des technologies mais de construire des “services” répondant à des besoins organisationnels. Cela peut sembler complexe mais c’est en fait plus compréhensible pour l’entreprise  car se rapproche de logiques d’organisation de production qui lui sont plus familières que les logiques d’usage. Par services j’entend des couples “outils / mode de travail”
  • Un alignement des outils doit donc également être mis en place. Le collaborateur ne peut passer sa vie à servir de gare de triage entre les flux des outils internes, des outils utilisés avec clients et partenaires et des outils permettant de communiquer avec le monde au sens large.
  • En fait la qualité de l’adoption du web dans une entreprise dépend quasi exclusivement de la capacité de celle-ci  à penser conjointement l’évolution de la technologie, des modes de travail et des rapports de l’entreprise à son ecosystème.
  • La preuve que finalement le web en tant que tel n’a aucune importance : il arrive naturellement dans tout projet d’entreprise bien pensé, s’appuyant sur une vraie vision.
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    Finalement beaucoup de débats actuels sont liés à la capacité de l'entreprise à comprendre, apprivoiser et utiliser le web à son profit, en interne. Un sujet a priori anodin puisque purement technologique et nécessitant des compétences autrement plus simples que celles mises en œuvres jusque là sur les infrastructures d'entreprise. Mais au final un sujet pas si anodin que cela.
Michael Nezet

POSH | Agrégateur rss, social bookmarking et collaboration réunis ! - 0 views

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    Une plateforme open source à télécharger qui permet de collaborer autour de l'information (veille, partage et discussions). Français et multilingue. Développé par Portaneo en licence open source. Remplace Netvibes + Diigo par exemple.
Yan Thoinet

émergenceweb : blogue » Blog Archive » Pourquoi bloguer ? Pour se souvenir ! - 0 views

  • Comment intégrer les nouvelles générations en entreprises et surtout comment créer à leur intention une mémoire d’entreprise ? J’ai fait de nombreux billets sur mon blogue, au cours des derniers mois, pour expliquer mes réflexions sur la mémoire d’entreprise. Pour la créer, neuf pré-requis : Bâtir les savoirs (multiplication des wikis) Communiquer les savoirs (aggrégation de blogues)* Identifier les savoirs (mise en relation) Localiser les savoirs (géo-localisation) Récupérer les savoirs (Peer-to-peer avec les retraités) Documenter les savoirs (Carnets de vie)* Gérer les savoirs (Les entrepôts de données)* Rechercher les savoirs (tagging, recherche sémantique) Transmettre les savoirs (vLearning)
  • le wiki, les blogues d’entreprise sont des espaces individuels de communication et de partage, qui permettent de regrouper (ou agréger) et mettre en valeur les expertises internes.
  • les blogues sont clairement définis comme un lieu particulier où l’on trouve des groupes d’expertise, des lieux d’échanges et de communication sur des sujets très précis et pertinents à la mission et aux objectifs d’affaires de l’entreprise.
  • ...8 more annotations...
  • mélanger (mashup) deux technologies du Web 2.0, soit le blogue et les fils de presse Web, que l’on nomme habituellement flux RSS (pour Really Simple Syndication), et ainsi de créer un mini-portail personnalisé de blogues d’expertise, selon l’unité, la division, le service.
  • Faites la transposition de Netvibes en entreprise… Il est donc facile de concevoir, par exemple, une agrégation de blogues d’experts en vins à la SAQ, de conseillers en rénovation chez Rona ou d’experts en efficacité énergétique à Hydro-Québec !
  • Pour toutes sortes de raisons, bonnes ou mauvaises, on craint que cette « liberté d’opinion » mette en danger l’image, la sécurité, la réputation et les avantages concurrentiels.
  • Il n’est pas rare de voir des employés d’entreprises ou de sociétés publiques tenir leur propre blogue professionnel. Pourquoi ne pas utiliser ces forces vives pour la construction d’une expertise collective interne
  • À l’interne, on a donc mis ces produits à bon usage. Résultat : 26 000 blogues individuels, 20 000 wikis regroupant 100 000 participants… et un réseau social appelé BluePages qui «réseaute» plus de 400 000 personnes ! Tous les employés peuvent bloguer et «podcaster». Pour éviter les débordements, personne n’est autorisé à rester anonyme dans l’intranet et l’entreprise s’attend à ce que chacun respecte un code de conduite spécifique.
  • Et, en plus de déclencher le partage de connaissance et d’expertise, les agrégations de blogues, ou fermes de blogues, comme certains les nomment, permettent l’articulation et l’organisation des idées, développent et maintiennent les expertises, humanisent l’entreprise, génèrent la communication et favorisent l’appartenance à l’entreprise.
  • dans la majorité des sondages internes effectués par les entreprises sur la satisfaction des employés, la question de la non-reconnaissance de l’expertise et des réalisations des employés revient toujours
  • Combien de fois entend-on la réflexion suivante en entreprise : « Mon expertise n’est pas reconnue. Ils préfèrent écouter un consultant externe » ? Les blogues d’expertise constituent une des réponses à cette question.
Elise Carbone

Twitter today, quitter tomorrow - 0 views

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    Article qui analyse la fidélité des utilisateurs. L'effet de découverte de l'outilspassé, 60% tweeters n'utilisent plus leur espace.
Elise Carbone

Le candidat du futur? - 0 views

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    Un homme vente ses compétences grâce à un clip vidéo qu'il diffuse sur son blog...
Christophe Deschamps

L'entreprise 2.0 et le mythe de la création de contenu - 0 views

  • L’employé ne produit pas des contenus mais de l’information, il en produit de plus en plus, et en vertu du principe selon lequel “si seulement l’entreprise savait ce que sait l’entreprise”, il serait bon qu’il en produise davantage.
  • l’entreprise a l’habitude de considérer que ce qui ne répond pas à ces critères ne sert à rien (ce qui n’est pas faut car ne répondant pas à un besoin) et donc que sa génération est du temps perdu. C’est là où les fameux contenus resemblent à ceux du web 2.0 : générés, mis à dispostion, sans pour autant savoir a priori comment ils seront utilisés par la suite. Et lorsqu’elle ne sait pas a priori a quoi quelque chose va servir, l’entreprise a tendance à decreter que ce quelque chose est inutile.
  • La “génération du contenu” étant un acte unique alors que le besoin pouvant se répeter un nombre indéfini de fois dans le temps temps, éviter ce qui était une perte de temps a priori donne lieu à de multiples pertes de temps a postériori.
  • ...4 more annotations...
  • Une collection de best practices que personne ne consulte et ne met en œuvre n’a d’autre valeur que celle d’exister. Il faut donc peu a peu faire acquérir ce réflexe aux collaborateurs, faire en sorte que concentrer expression des besoins et des solutions en un même endroit.
  • Cette mise en relation sera logicielle et humaine. Logicielle car il existe aujourd’hui des outils de publication / classement / évaluation / recherche / redirection de l’information parfaitement adaptés.
  • Humaine ensuite car la logique de sollicitation de ses contacts afin qu’à leur tour ils sollicitent les leurs afin de trouver une solution, une réponse, qui est existe et a prouvé son efficacité depuis la nuit des temps de va pas disparaitre pour autant. Il s’agit simplement de la faciliter, connecter les bonnes personnes sur des critères de pertinence afin qu’elles intéragissent entre elles, partagent informations et contacts. Par contre le caractère chronophage de ce type de pratique est proportionnel à la taille de l’organisation. Il s’agit donc de fluidifer et rationaliser tout cela, et là intervient la composante réseau social qui va devenir bientôt nécessaire à tout système d’information nécessaire.
  • rien ne sera possible tant que la logique amenant du contenu à la valeur ne sera pas explicitée et que ce qui permet de passer de l’un à l’autre ne sera pas mis en place. Contenus, outils et bonnes pratiques ne se suffisent pas, il faut les trois. Et les managers verront alors l’intérêt de voir leurs équipes générer du contenu.
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    Très bon article de Bertrand Duperrin sur la création de contenu dans l'entreprise et comment y parvenir.
Elise Carbone

Un réseau social où les entreprises sont notées - 0 views

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    JobFact - La première communauté anonyme où les employés parlent aux employés
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